dimanche 2 octobre 2011
L'impossible couple journaliste-politique
I-télé a décidé de suspendre, dès ce lundi, le rendez-vous politique d'Audrey Pulvar. Cette décision intervient après qu'Arnaud Montebourg a annoncé, en fin de semaine dernière, son intention de se présenter aux primaires du Parti socialiste.
En 1997, quand son époux Dominique Strauss-Kahn est nommé ministre de l'Economie du gouvernement Jospin, Anne Sinclair décide de quitter Sept sur sept, l'émission qu'elle anime depuis 13 ans sur TF1. Une première.aliste. Ce n'est pas le premier cas de ce genre.
Dix ans plus tard, au début la campagne pour l'élection présidentielle de 2007, Béatrice Schönberg quitte la présentation du JT de France 2 pour mettre fin à un début de polémique. Elle est mariée à Jean-Louis Borloo depuis 2005 et celui-ci s'apprête à s'engager aux côtés du candidat Nicolas Sarkozy.
Les exemples n'ont pas fait jurisprudence. De 1997 à 2007, la "reine Christine" (Ockrent) anime France Europe Express. Elle met fin à l'émission alors que son compagnon Bernard Kouchner est nommé ministre des Affaires étrangères mais réfute tout lien entre les deux évènements. En 2008, elle devient directrice générale de France 24 et directrice générale déléguée de RFI.
En septembre 2005 à juillet 2008, Marie Drucker présente Soir 3, le journal télévisé de la nuit de France 3. Après la révélation de sa relation avec François Baroin, alors ministre de l'Outre-mer, elle renonce à l'émission le temps de la campagne présidentielle. Ils sont séparés depuis le printemps 2008.
François Hollande a récemment officialisé sa relation avec Valérie Trierweiler, qui anime Politiquement Parlant, sur Direct 8. Devra-t-elle quitter son poste si l'ancien patron du PS se présente lui aussi aux primaires?
BFMTV 2012 : spéciale sénatoriales
Olivier Mazerolle et Romain Gubert, journaliste au Point, recueillent la réaction d’Arnaud Montebourg à l’annonce de la victoire de la gauche au Sénat. Ils abordent également le thème de la démondialisation.
Après l’annonce de la victoire de la gauche au Sénat, Olivier Mazerolle et Christophe Jakubyszyn recueillent les réactions, de Martine Aubry, d’Harlem Désir, de Gérard Larcher et de Jean-Pierre Bel.
Sénat : réactions à l’élection de Jean-Pierre Bel
Le nouveau président socialiste du Sénat, Jean-Pierre Bel, a affirmé sa volonté "de faire vivre l'alternance au Sénat" et a refusé d'en faire un "bastion". Patrick Ollier, ministre des Relations avec le Parlement, juge ce discours "républicain".
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