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mardi 31 janvier 2012

Le Petit Journal 31/01/12 - Persona non grata

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Le député René Dosière épingle les dépenses de Sarkozy à l'Elysée



Le député de l'Aisne René Dosière présente L'Argent de l'Etat, son dernier livre, qui épluche les dépenses de l'Etat et plus particulièrement de l'Élysée lors de la présidence Sarkozy.

Sarkozy refuse de répondre aux critiques de Hollande sur la TVA



Nicolas Sarkozy a refusé de répondre aux critiques de François Hollande sur la hausse de la TVA, estimant qu'elles n'étaient pas d'une "originalité" suffisante pour mériter une réponse au sommet européen de Bruxelles.

Bourdin 2012 : François Baroin



Jean-Jacques Bourdin reçoit François Baroin, ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie.

lundi 30 janvier 2012

"La TVA Sarkozy" est "une injustice sociale", estime Aubry



Selon Martine Aubry, "la TVA Sarkozy, c'est à la fois une erreur économique profonde" et "une injustice sociale". La première secrétaire du Parti socialiste estime que "c'est un peu étonnant de voir un président annoncer une mesure qui chamboule les prélèvements sociaux".

"La TVA Sarkozy" est "une injustice sociale", estime Aubry



Selon Martine Aubry, "la TVA Sarkozy, c'est à la fois une erreur économique profonde" et "une injustice sociale". La première secrétaire du Parti socialiste estime que "c'est un peu étonnant de voir un président annoncer une mesure qui chamboule les prélèvements sociaux".

Xavier Bertrand et Pierre Moscovici sur BFMTV : désaccord total sur la TVA sociale



Xavier Bertrand et Pierre Moscovici se sont affronté sur le bilan du gouvernement lors du débat organisé par Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.

Les Guignols de l'Info du 30/01/12 - Les Transformers de la politique


Le Petit Journal 30/01/12 - "Justin Bieber est un gros c** !"

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Le président Nicolas Sarkozy, candidat en Allemagne ?


Hausse de la TVA : réactions politiques



L'annonce de la hausse de la TVA par Nicolas Sarkozy fait réagir la classe politique. Le Parti socialiste, le Front de gauche et le Front national ont critiqué cette mesure.

Après avoir interviewé N. Sarkozy, F. Lenglet revient sur les mesures annoncées



Le chef de l'Etat a été interviewé ce soir par plusieurs journalistes dont François Lenglet, éditorialiste à BFMTV. Il nous livre à l'issue de cette rencontre ses impressions sur les annonces faites par le "presque candidat" Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy annonce une hausse de la TVA et une taxe sur les transactions financières


Les accords de compétitivité annoncés par N. Sarkozy pourraient sonner la fin des 35h


«Sarkozy est totalement obsédé par Hollande»







Nicolas Sarkozy à la télévision : un président périmé

Sarkozy c'est fini, et dire que c'était le Président des premiers amours de notre chroniqueur politique Louis Elkaïm. Et si cette émission ratée sonnait le début de la fin du Sarkozysme?

En ce dimanche glacial, je vous avoue mes chers gueux que la pensée de devoir poser mon royal séant devant le miroir aux alouettes pour regarder Nicolas ne m'enchantait guère. Je savais ce à quoi j'allais assister.

Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée dimanche 29 janvier 2012 (L. BONAVENTURE/AFP)

Nicolas Sarkozy lors de son intervention télévisée dimanche 29 janvier 2012 (L. BONAVENTURE/AFP)

Hélas, et à mon grand désespoir, mon pressentiment initial n'a fait que se confirmer après 1h d'émission.

Le retour de l'ORTF

Oh, j'ai bien essayé d'aller voir ailleurs. De TF1, je suis passé sur France 2 mais c'était la même chose. Puis sur iTélé mais c'était pareil, puis sur LCI, BFM TV mais toujours pareil.

J'étais tellement désespéré que suis allé sur TV5 monde en quête d'un bon Vivement Dimanche pour m'achever. Hélas, Nicolas m'attendait à nouveau avec Laurent Delahousse, qui ressemble de plus en plus à Charmant dans Shrek, et qui pose ses questions comme dans "Un jour, un destin" en plissant des yeux avec son organe suave, à faire palir une mouche. Charmant étant bien sûr accompagné de Barbie Chazal.

En désespoir de cause, j'ai donc regardé Nicolas du début à la fin. Vive l'ORTF. Je passe rapidement sur le "je suis candidat sans vous le dire tout en vous le disant" et les annonces faites par Nicolas : TVA sociale, augmentation du quota d'apprentis en entreprises, logement, etc, etc. Car là n'est pas, ou plutôt là n'est plus, la question.

Ça va bien, on ne va pas nous faire croire que 3 mois avant l'élection ça va tout changer. Et ça va bien, on sait qu'il sera candidat... Il y a des limites à prendre les gueux pour des imbéciles. Bref.

Je reprends. Cette prestation présidentielle multi-diffusée ne m'a inspiré qu'un vague ennui comme s'il n'y avait plus rien à écrire sur Sarkozy, comme s'il s'était asséché.


Sarkozy : "J ai un rendez-vous avec les... par Nouvelobs

Durant cette cérémonie funèbre - ne manquait plus que les cierges - je n'ai pu me départir de cette étrange sensation, celle que vous avez, lorsqu'au supermarché (je dis vous, car je ne vais jamais dans ce genre d'endroit), vous cédez encore et toujours à cette bonne pizza surgelée, si facile à manger, si dure à digérer, que vous vous étiez juré de ne jamais reprendre.

Les vieilles promesses

Nicolas, c'est pareil. Facile à acheter, à consommer, difficile à digérer. Il nous a donc joué sa partition habituelle, si ordinaire et si attendue. On a eu les "vous croyez que je vais rester là à rien faire", les "vous savez président, c'est un métier difficile", les "on les laissera pas tomber" (pour les salariés de Lejaby.) Gandrange s'en souvient encore.

On a eu finalement toutes ces vieilles rengaines que Nicolas nous sort depuis 5 ans. Ces recettes qui ont fait son succès mais qui sont périmées, auxquelles on ne croit plus parce qu'il y a eu trop de promesses non tenues, parce que l'on sait que quand Nicolas Sarkozy dit "je vais le faire", aussi convaincant puisse-t-il être, il ne le fera pas forcément...

Parce que Nicolas Sarkozy a été élu sur le pouvoir d'achat "travailler plus pour gagner plus" et qu'aujourd'hui il nous propose la TVA sociale.

En fait la question que je me pose après ce grand raout médiatique, un de plus, est la suivante: l'ère Sarkozy n'est-elle tout simplement pas terminée? A force d'activisme sa voix ne semble plus porter et son volontarisme ne ressemble plus qu'à un paravent pour cacher une fin de règne désabusée.

Finalement, Nicolas Sarkozy serait un peu comme ces vieux chanteurs qui tournent toujours avec les mêmes tubes. Il lasse, il ennuie. On se laisse prendre quelques instants, puis on se dit que ça suffit. Nicolas Sarkozy doit d'urgence trouver de nouveaux tubes s'il ne veut pas, comme certaines de ses idoles, finir dans la tournée "Age Tendre et Têtes de Bois".

À Dieu mes gueux.

dimanche 29 janvier 2012

Retransmission de l'intervention de Nicolas Sarkozy

Olivier Besancenot : "La perspective de Hollande,c'est la rétrospective"


"La perspective de Hollande,c'est la... par Europe1fr

Olivier Besancenot, ex-candidat du NPA à la présidentielle a réagi vendredi au programme dévoilé par le candidat socialiste François Hollande. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.europe1.fr

L'interview de Nicolas Sarkozy


L'interview de Nicolas Sarkozy par Europe1fr

Laurent Neumann (de Marianne) et Etienne Gernelle (du Point) débattent de l'actualité.

Michèle Alliot-Marie : "conforme à nos engagements"

Bayrou : "Une impression d'improvisation", "Se débarrasser de la malédiction des deux camps"


"Une impression d'improvisation" par Europe1fr

"Ces mesures de dernière minute, avant une élection présidentielle et qui ne seront pas appliquées avant une élection présidentielle, ça donne une impression d'affolement, d'improvisation", estime François Bayrou alors que Nicolas Sarkozy doit s'adresser aux Français dimanche soir. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.europe1.fr


"Se débarrasser de la malédiction des deux camps" par Europe1fr

Interrogé sur un possible désistement en faveur de Nicolas Sarkozy ou François Hollande, François Bayrou s'est montré très clair : "tout le sens de ma vie politique, depuis des décennies, c'est qu'on débarrasse la vie politique française de la malédiction des deux camps". Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.europe1.fr

"RTL 2012" accueille Alain Madelin

La semaine des Guignols - Semaine du 29/01/12

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Le Petit Journal de la semaine - Semaine du 29/01/12

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Jean-Marie Le Pen prédit la mort de l'UMP après la présidentielle



Le président d'honneur du Front national, Jean-Marie Le Pen, prédit "l'explosion" de l'UMP après les élections présidentielle et législatives.

Interrogé dimanche 29 janvier sur France 3 sur de possibles alliances entre le FN et l'UMP en vue des prochaines échéances électorales, l'ancien numéro un frontiste a seulement répondu : "Je pense qu'il n'y aura plus d'UMP après les élections".

Dans un tout autre registre, Jean Marie Le Pen a livré une interprétation toute personnelle du film "Intouchables". Selon lui, "l'infirme" joué par François Cluzet représente la France qui doit compter sur l'aide des "jeunes des banlieues et issus de l'immigration", représentés par Omar Sy. Une situation qui ne lui plait pas du tout.


Ce que devrait annoncer ce dimanche soir Nicolas Sarkozy



Lors de sa riposte télévisée ce dimanche soir, à suivre en direct sur BFMTV, Nicolas Sarkozy devrait annoncer une série de mesures fortes, dont une hausse de la TVA de 1,6 point, avec l'objectif clair de contrer le candidat socialiste François Hollande.

TVA, chômage : rendez-vous télévisé crucial pour Sarkozy

Dimanche soir, le chef de l'Etat devrait présenter aux Français, lors d'une intervention télévisée d'environ une heure, "les mesures structurelles et fortes" censées soutenir une économie française en crise. Il devra convaincre sur des sujets difficiles, comme la hausse envisagée de la TVA.

Entre le sommet social du 18 janvier dernier, et le sommet européen prévu lundi à Bruxelles, Nicolas Sarkozy va faire le point face aux Français sur les principales mesures qui doivent atténuer le choc de la crise sur l'économie française. Rendez-vous ce dimanche à la télévision : le chef de l'Etat sera interrogé une heure durant, depuis l'Elysée, par des journalistes de TF1, France2, BFMTV, i-Télé et LCI. Avec une nouveauté au menu de cet exercice : c'est la première fois que les chaînes d'information en continu sont invitées à interviewer le président au palais présidentiel.

L'objectif premier, pour Nicolas Sarkozy, est de présenter aux Français "les mesures structurelles et fortes" - selon les mots de François Fillon - censées redynamiser une économie française gangrenée par une croissance atone et un taux de chômage en hausse continue. Impossible par ailleurs d'ignorer que cette apparition télévisée interviendra alors que la campagne de François Hollande a connu une nette accélération. D'où un jeu délicat entre le chef de l'Etat intervenant face aux Français et le candidat non encore déclaré cherchant à convaincre de futurs électeurs, qui pourrait poser quelques difficultés au CSA : celui-ci a d'ailleurs indiqué que son temps de parole, ce dimanche soir, serait décompté quand il interviendra "en tant que candidat présumé".

Une déclaration de candidature "pas à l'ordre du jour"

Mais il lui faudra se montrer très pédagogue pour faire accepter aux Français des mesures dont certaines sont impopulaires jusque dans la majorité. Comme cela avait été discuté avec les syndicats lors du sommet social du 18 janvier, Nicolas Sarkozy devrait ainsi annoncer une hausse de la TVA - probablement sans prononcer les mots qui fâchent de "TVA-sociale" - de façon à réorienter vers elle une partie du financement de la protection sociale qui pèse jusqu'ici uniquement sur les cotisations salariales et patronales. Autre réforme envisagée : la flexibilité du travail, grâce à des "accords de compétitivité" par entreprise ou par branche, "comme cela existe déjà en Allemagne" à l'économie florissante, aime à souligner Nicolas Sarkozy. Nicolas Sarkozy devrait également annoncer des mesures en faveur du logement, dont il avait déploré le "manque" et le "prix considérable", lors du sommet social.

Cet exercice de pédagogie, aussi difficile soit-il pour celui qui se voulait, au moment de son élection, "le président du pouvoir d'achat", mais qui s'est vite heurté à la réalité de la crise, pourrait offrir à Nicolas Sarkozy l'occasion de reprendre la main aux yeux des Français. Une éventuelle déclaration de candidature à l'élection présidentielle est toutefois écartée par son entourage, alors que certains dans la majorité le pressent d'entrer dans l'arène plus tôt que la date prévue de "mars", afin de contrer un Hollande en pleine forme dans les sondages.

"Ce n'est pas à l'ordre du jour, le calendrier a toujours été le même en ce qui le concerne, il ne le changera pas", affirme-t-on à l'Elysée, où l'on ne souhaite surtout pas donner l'impression d'une fébrilité ou d'un sentiment d'urgence face à un candidat socialiste en train de gagner en crédibilité auprès des Français. "Aujourd'hui, il part du principe que la crise est assez grave pour qu'un président de la République s'occupe matin, midi et soir des Français et pas d'une campagne présidentielle qui a lieu dans plus de deux mois. C'est un état d'esprit", assure-t-on à l'Elysée.

Hausse de la TVA de 1,6 point : quelles conséquences ?



Nicolas Sarkozy devrait annoncer ce dimanche soir une hausse de 1,6 point de la TVA. Une mesure qui avait coûté cher à la droite, même si les résultats sont positifs sur la croissance.

Le grand oral de Nicolas Sarkozy : les enjeux



Afin de contrer et inverser la dynamique François Hollande, relancée depuis son meeting au Bourget, Nicolas Sarkozy devra jouer toutes ses cartes ce soir lors de son intervention télévisée. Notre éditorialiste politique Olivier Mazerolle en analyse les enjeux.

La déclaration d'indépendance de Bayrou


L'UMP n'a pas investi de candidat aux législatives dans la circonscription du patron du MoDem. Claude Guéant voit en lui un concurrent, certes, mais qui reste "de la famille" de la droite. Bayrou s'irrite de ce "petit jeu", prêche pour un centre indépendant, et dénonce "l'affolement" de Sarkozy.

Parmi les 500 candidats investis samedi par l'UMP pour les prochaines législatives, aucun n'apparaît dans la circonscription de François Bayrou, candidat du MoDem à la présidentielle. Contrairement à 2007 : le député béarnais avait alors eu un UMP face à lui. Même situation pour l'autre député MoDem sortant des Pyrénées-Atlantiques, Jean Lassalle, fidèle de Bayrou, qui se retrouve également sans concurrent UMP. En 2007, en revanche, il avait dû lui aussi en affronter un, ce dernier s'étant même maintenu, sans succès, au second tour face à lui.

Pourquoi une telle attitude, qui ressemble bien à un pacte de non agression avec François Bayrou ? L'UMP ne l'a pas précisé. Une source au sein de l'UMP assure toutefois que "Bayrou est très critique du PS et est beaucoup plus proche de nous qu'en 2007". Et dans un entretien au Parisien, Claude Guéant enfonce le clou. Que représente donc François Bayrou selon lui ? "C'est un concurrent. Le centrisme ça existe, mais plus je l'entends parler, plus je me dis qu'il appartient à notre famille. Sa pensée politique est très proche de la nôtre. Sur la gestion des finances publiques, par exemple, nous sommes sur la même ligne".

"Un petit jeu parfaitement transparent"

Mais parler à François Bayrou de "la famille", alors qu'il affirme justement refuser le clivage droite-gauche, voilà qui a le don de l'irriter. Dès samedi, le leader du MoDem, qui pointe en quatrième position dans les sondages avec des scores autour de 14% d'intentions de vote au premier tour de la présidentielle, a dénoncé le geste de l'UMP : "C'est un petit jeu parfaitement transparent qui consiste à faire croire qu'il y aurait une entente et une connivence entre l'UMP et moi", a-t-il lancé. "Depuis le premier jour de ce mandat, j'ai averti les Français des fautes et des dérives qui allaient mener à la situation désastreuse que nous connaissons aujourd'hui. Je n'ai manifesté et ne manifesterai aucune indulgence à l'égard de ces erreurs et de la responsabilité que l'UMP porte devant les Français".

Une dénonciation reprise dimanche lors du Grand rendez-vous sur Europe 1 et i>télé. Tout en réaffirmant le besoin en France d'un centre indépendant à la fois de la droite et de la gauche, il s'en est pris vigoureusement à Nicolas Sarkozy, en estimant que les mesures qu'il doit annoncer ce dimanche soir témoignent surtout de la panique du chef de l'Etat à l'approche de la présidentielle. Il doit annoncer notamment une hausse de 1,6 point de la TVA pour la porter à 21,2% et un allègement des charges sociales, a écrit Le Monde. Des gestes qui ne sont pas du goût de François Bayrou.

"Ces mesures annoncées dans les dernières semaines avant une élection présidentielle et qui ne seront pas appliquées (...), ça donne une impression d'affolement, d'improvisation", a lancé le leader centriste. "Est-ce qu'on propose de remettre en ordre les finances de l'Etat ? Non", a encore souligné le candidat du MoDem. "Sur ce point, une augmentation modérée de la TVA aurait été utile. Mais on abandonne ce sujet pour aller affecter une augmentation de près de deux points qui sera sans aucun effet".

C. Lepage : "l'environnement est totalement absent de la campagne"

Qui sont vraiment les Anonymous ?



Ce collectif a multiplié les opérations sur la toile ces dernières semaines, notamment pour défendre la liberté d'expression et de partage sur internet. Présentation d’une nébuleuse aux contours flous, sans hiérarchie ni porte-parole.

L'annonce de la candidature de Nicolas Sarkozy divise l'UMP



Nicolas Sarkozy tentera ce dimanche soir de reprendre la main au moment où la campagne de François Hollande, en tête dans les sondages, s'est fortement accélérée. La stratégie choisie ne devrait pourtant pas comporter l'annonce de sa candidature.

Interview de Nicolas Sarkozy sur BFMTV : les coulisses de l'intervention



L'interview de Nicolas Sarkozy ce dimanche soir sera diffusée simultanément sur six chaînes de télévision dont BFMTV, représentée par l'éditorialiste économique François Lenglet, également directeur de la rédaction de BFM Business. Il nous livre quelques détails sur son organisation.

samedi 28 janvier 2012

Stéphane Guillon fait sa revue de presse dans Salut les Terriens!

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Salut les Terriens ! du 28/01/2012

François Bayrou veut séduire les écologistes



François Bayrou, candidat du MoDem à a présidentielle commence à enregistrer des ralliements du côté de la Haute-Savoie où il était en déplacement.

Ce samedi, la fédération France Nature Environnement (FNE) tient son Congrès à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Sept candidats à la présidentielle doivent exposer leurs propositions en matière d'environnement dont François Bayrou.

Nicolas Sarkozy devrait annoncer des mesures pour rebondir



L'intervention de Nicolas Sarkozy ce dimanche soir, à suivre en direct sur BFMTV, sera un moment important pour le chef de l'Etat, qui aura l'occasion de reprendre la main dans cette campagne présidentielle.

Retrait des soldats français d'Afghanistan fin 2013



Le président Nicolas Sarkozy a annoncé vendredi une accélération d'un an du calendrier de retrait de l'armée française d'Afghanistan, qui devrait donc se retirer fin 2013.

François Hollande se montre plus prudent pour parler de la finance



Après avoir fustigé le système financier lors de son meeting dimanche dernier au Bourget, le candidat socialiste à l'Elysée François Hollande semble vouloir désormais tempérer ses propos.

Nicolas Sarkozy devrait annoncer des mesures pour rebondir



L'intervention de Nicolas Sarkozy ce dimanche soir, à suivre en direct sur BFMTV, sera un moment important pour le chef de l'Etat, qui aura l'occasion de reprendre la main dans cette campagne présidentielle.

vendredi 27 janvier 2012

Serge July : "Nicolas Sarkozy vise le cœur des Français"


Serge July : "Nicolas Sarkozy vise le cœur des... par rtl-fr

Réaction de Bayrou sur le programme de Hollande



En cas de victoire, François Hollande ne voit pas François Bayrou dans son gouvernement. Lors d'un déplacement à Archamps en Haute-Savoie, le patron du Modem a assumé ses désaccords avec le candidat socialiste.

Le programme de François Hollande discuté au Forum économique de Davos



Au Forum économique mondial de Davos, le programme de François Hollande n'est pas attaqué frontalement, mais Maurice Lévy, président de Publicis et président de la Fep, rappelle que si les entreprises n'embauchent pas en France, c'est parce que le coût de l'emploi est trop élevé.

Copé : Hollande "ne présente pas de vision"



Au lendemain du débat entre François Hollande et Alain Juppé, Jean-François Copé a assuré vendredi sur Europe 1 avoir découvert chez François Hollande, candidat PS à l'Elysée, "une vraie arrogance", mais aucune "vision".

Débat musclé entre Hollande et Juppé


Le débat entre le candidat PS à l'Elysée et le ministre des Affaires étrangères, jeudi soir sur France 2, a donné lieu à un affrontement parfois musclé mais extrêmement technique, portant principalement sur les finances publiques.

C'était un exercice à haut risques. Il a donné lieu à un échange tendu, tournant parfois à l'empoignade. François Hollande, candidat PS à la présidentielle, et Alain Juppé, coqueluche des élus et des militants UMP et surtout ministre de Nicolas Sarkozy, se sont affrontés pendant 40 minutes dans "Des paroles et des actes" jeudi soir sur France 2. A l'offensive au début du débat, l'ancien premier ministre a d'abord reproché à François Hollande, qui devance largement le président sortant dans les sondages, son "arrogance" et son excès de confiance en soi, accusant le candidat de faire de Nicolas Sarkozy "une méchante caricature". "Vous êtes un peu trop sûr d'avoir tourné la page", lui a-t-il reproché, mordant.

pictoComment Hollande compte financer son programme
pictoProgramme de Hollande : "merci les riches et la croissance"
pictoPour la droite, Hollande ignore la crise, Marine Le Pen fustige "des mesurettes"
pictoHollande accentue son avance sur Sarkozy

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Copé : Hollande "ne présente pas de vision" 36 secondes
Copé : Hollande "ne présente pas de vision" - 36 secondes
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Puis les deux hommes se sont lancés dans une bataille budgétaire, Alain Juppé attaquant point par point le programme économique de François Hollande, que celui-ci avait dévoilé dans la matinée. Le candidat socialiste a répliqué en pilonnant les choix budgétaires du gouvernement. S'interrompant souvent, s'apostrophant à plusieurs reprises, les deux adversaires se sont rapidement enlisés dans un débat d'experts très technique. Pas avare de piques, François Hollande a répliqué aux attaques d'Alain Juppé en lui lançant qu'en matière d'arrogance "chacun a à faire son examen de conscience : vous avez des rechutes possibles". "Vous n'êtes pas candidat, peut-être le serez-vous si Nicolas Sarkozy ne l'est pas... ne perdez pas tout espoir!", a-t-il aussi lancé à celui que certains à droite pourraient considérer comme un recours si le chef de l'Etat décidait de ne pas se présenter.

"Etre normal est une qualité"

Plus tôt sur le plateau, François Hollande s'était employé pendant près d'une heure à faire le service après-vente de son projet, dévoilé dans la matinée à la maison de la chimie à Paris (lire notre article > Programme de Hollande : ce qu'il faut retenir). Outre ses mesures-phares, il a évoqué son propre parcours et répondu aux attaques de la droite, qui moque son sens du consensus. "Etre normal est une qualité (...) Je pense qu'il y a eu des comportements au sommet de l'Etat qui n'ont pas été normaux", a dit le candidat PS, taclant explicitement Nicolas Sarkozy. "J'essaye de résoudre les conflits, je ne les recherche pas, je ne les suscite pas", a-t-il dit.

Le favori des sondages s'est montré prudent sur ses chances de l'emporter en mai. "Quand la mayonnaise prend, il faut éviter qu'elle retombe et ça peut tourner, donc c'est une attitude que je ne cesserai d'avoir, c'est celle du respect des Français", a déclaré François Hollande. "Je suis suffisamment expérimenté dans la vie politique pour savoir que rien n'est acquis, que rien n'est fait, que tout se construit, tout se mérite", a ajouté celui qui a été pendant dix ans premier secrétaire du PS. A la question de savoir ce qu'il ferait s'il perdait l'élection, il n'a pas répondu, comme Nicolas Sarkozy cette semaine, qu'il quitterait la politique. "Je ne suis pas dans la même situation, je ne suis pas président sortant", a-t-il souligné. "Je ne parle pas de mon retrait, je parle plutôt de mon avenir". Interrogé sur son principal défaut, François Hollande a répondu "la pudeur". "Je ne m'exhibe pas, j'ai une certaine réserve", a ajouté le candidat qui considère "la ténacité" comme sa principale qualité.

Pas de Bayrou au gouvernement

Il a également déclaré qu'en cas de victoire à l'élection présidentielle, il gouvernerait avec tous ceux qui l'auront soutenu au second tour mais qu'il ne voyait pas le centriste François Bayrou dans ce cas de figure. "François Bayrou trouve que mon projet n'est pas bon, il l'a dit. Donc je ne vois pas comment il pourrait participer à un gouvernement pour appliquer un projet qu'il ne trouve pas bon". Il a également assuré qu'"il se désisterait pour le candidat de gauche le mieux placé", interrogé sur l'hypothèse où le leader du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, le devancerait au 1er tour de l'élection présidentielle.
Par L.G le 26 janvier 2012 à 22:54

UMP : le projet pour 2012 approuvé, une participation à 33%

Le projet de l'UMP pour 2012 a été approuvé par plus de 96% des militants, la participation ayant été de 33%, a annoncé vendredi une source du parti majoritaire. Ce résultat doit encore être confirmé par un vote du Conseil national de l'UMP, qui se réunit samedi à Paris. Là non plus, l'approbation ne fait pas de doute.

Selon les chiffres communiqués par une source UMP, 86.295 adhérents du parti majoritaire se sont prononcés lors de ce scrutin, ouvert, notamment sur internet, du 14 au 26 janvier. Ce qui représente une participation d'à peine 33% des 261.000 adhérents comptabilisés au 31 décembre dernier.

Le projet (qui prévoit notamment la fin des 35 heures via des accords de branche ou d'entreprise, la création d'une fiscalité anti-délocalisation et la mise en place d'un code pénal spécifique pour les mineurs, avec sanctions dès 12 ans) a été approuvé par 96,37% des adhérents. 1,8% ont voté non et 1,8%

Stéphane Guillon interdit de métro


Jugée trop politique à l'approche de la présidentielle, l'affiche du prochain spectacle de l'humoriste à l'Olympia a été retirée du métro parisien. Stéphane Guillon crie à la censure.

Elles ont été collées quelques heures avant d'être arrachées. Stéphane Guillon s'est plaint jeudi du retrait dans le métro parisien des affiches de son prochain spectacle à l'Olympia. On y voit l'humoriste, au milieu de la scène, faire la révérence. Le titre annonce, en lettres rouges : "En mai 2012, Stéphane Guillon s'en va aussi", une allusion transparente au départ supposé du président de la République Nicolas Sarkozy à l'issue de l'élection présidentielle. Une allusion qui ne passe pas.

pictoBesson prêt à un face-à-face avec Stéphane Guillon

Vidéo
Stéphane Guillon : "Je ne suis absolument pas méchant" 4min 6s
Stéphane Guillon : "Je ne suis absolument pas méchant" - 4min 6s


Metrobus, la régie publicitaire de la RATP (groupe Publicis) a justifié ce retrait : "Cette campagne a été retoquée au niveau de l'accroche. Notre direction juridique a estimé que cela n'entrait pas le cadre de notre convention avec la RATP. Nous devons nous abstenir de toute communication à caractère politique ou religieux, surtout en période électorale". "Censure !", a, lui, réagi Stéphane Guillon. Via Twitter d'abord d'un : "Mon affiche a été censurée dans le métro sans explication". Puis sur le plateau du petit journal de Canal+ d'un : "Ce n'est pas normal, on est dans une démocratie."

L'humoriste, qui avait été évincé de France Inter après plusieurs chroniques grinçantes, a dit espérer que ses affiches soient recollées, estimant qu'il y avait de nombreuses autres affiches à caractère politique dans le métro. A suivre.

Benoît Hamon, porte-parole du Parti socialiste : "Avec Hollande, les salariés vont faire beaucoup d'économie"

"Les Carnets d'Alba" : Sarkozy surveille les déplacements de ses ministres

"La marque du Mailhot" : "Les formules choc de la semaine"

Le duel Hollande / Juppé décrypté par Alain Duhamel

Eric Zemmour : "La loi de 1905 dans la Constitution ? Foutaise !"

Bourdin 2012 : Gérard Longuet


Présidentielle : Sarkozy a chargé Juppé d'attaquer le programme de Hollande


François Hollande face à Alain Juppé, représentant de l'Elysée


Les Guignols de l'Info du 27/01/12 - le combat des chefs

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