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dimanche 9 octobre 2011

A. Montebourg, 3e homme de la primaire PS



Arnaud Montebourg, arrivé 3e de la primaire PS, a déclaré ce dimanche soir que "les Français se sont emparés de ce désir de changement et ont décidé de rendre possible la défaite historique de Nicolas Sarkozy", se gardant toutefois de dévoiler sa consigne pour le 2nd tour.

Primaire : Valls, 5e, appelle à voter Hollande



Manuel Valls, arrivé 5e de la primaire PS, a appelé ce dimanche soir "au plus large rassemblement" derrière François Hollande, arrivé en tête d’après des résultats portant sur plus d’1,8 million de votes.

Déclaration d'Arnaud Montebourg à l'issue du...


Déclaration d'Arnaud Montebourg à l'issue du... par PartiSocialiste

Déclaration d'Arnaud Montebourg à l'issue du premier tour des Primaires Citoyennes.

A. Montebourg, 3e homme de la primaire PS



Arnaud Montebourg, arrivé 3e de la primaire PS, a déclaré ce dimanche soir que "les Français se sont emparés de ce désir de changement et ont décidé de rendre possible la défaite historique de Nicolas Sarkozy", se gardant toutefois de dévoiler sa consigne pour le 2nd tour.

Montebourg : "la vie politique française a changé ce soir"



Pour Arnaud Montebourg, arrivé troisième, selon des résultats partiels sur 1 million de bulletins, les primaires ont posé le "premier acte, la première pierre de la sixième République où les citoyens pourront exercer leur poids et leur force".

Royal ne cache pas sa grande déception


Emue et digne Ségolène Royal devant ses partisans. Reléguée à la quatrième place lors du premier tour de la primaire, elle a affirmé prendre "acte du résultat très décevant" et signalé qu'elle donnerait prochainement" des indications à ses électeurs pour le second tour. Celle qui avait rassemblé 17 millions de voix au second tour en 2007 voit la page se tourner. Le député Jean-Louis Bianco, un de ses fidèles soutiens, a exprimé sa "tristesse". Estimant que "la victoire de la gauche à la présidentielle ne sera pas possible sans Ségolène Royal", il l'a appelé à "donner une consigne" pour le second tour de la primaire.

Toute la campagne, la présidente de Poitou-Charentes avait martelé qu'elle arriverait en tête du premier tour, se disant "sereine" et fustigeant les sondages "manipulation". A 58 ans, elle assurait avoir tiré les leçons de 2007 et s'était relancée dans la course à l'Elysée en promettant d'être pour les Français "la présidente des solutions". Mais l'ultra-favorite d'il y a cinq ans a peiné tout du long à percer derrière le duo Hollande-Aubry.

Au soir de la défaite du 6 mai 2007, devant des supporters sonnés, elle avait lancé du balcon de Solférino: "Quelque chose s'est levé qui ne s'arrêtera pas!", se propulsant déjà vers d'"autres victoires". Dimanche soir, Mme Royal est revenue au siège du PS, tentant de faire bonne figure, face à une défaite annoncée, toujours avec sa veste rouge vif, mince et son sourire immuable au coin des lèvres. "Le peuple est en train de dire que lorsqu'on le consulte, il répond présent", a-t-elle assuré espérant un résultat "le meilleur possible". Mais on sentait qu'elle n'y croyait plus. Celle qui a bousculé les codes socialistes, et dont beaucoup d'idées ont été reprises par son parti, semble avoir perdu le rapport magique qu'elle avait instauré avec les Français en 2007.

"Porte-parole des sans-voix"

Courageuse, intrépide pour ses admirateurs, exaltée voire "illuminée" pour ses détracteurs, Ségolène Royal, seule femme à avoir accédé au second tour d'une présidentielle, était repartie à l'assaut pour 2012 avec la même détermination... Mais pas les mêmes troupes. Se faisant la "porte-parole des sans voix", elle avait sillonné jusqu'à la dernière heure les quartiers de banlieues difficiles, qui l'avaient soutenue en 2007 et avec qui elle dit avoir gardé un contact privilégié. Assurant avoir "gagné en maturité, en profondeur", "analysé (ses) forces et (ses) faiblesses", Ségolène Royal mettait en avant son expérience d'ex-candidate sa capacité à surmonter les épreuves, ses réalisations en Poitou-Charentes, sa région, dont elle a fait le laboratoire de ses idées : voiture électrique, énergie photovoltaïque, banque pour les PME.

Fille d'officier, issue d'une famille catholique ignore, dit-elle, "la haine" ou "tout esprit de revanche", mais n'hésite pas à tacler sévèrement ses rivaux, y compris son ex-compagnon François Hollande, père de ses quatre enfants. Sur la forme, elle a tempéré ses envolées quasi mystiques sur le thème de "la fraternité", mais revendique toujours "un lien affectif" avec les Français, continuant d'enflammer les meetings, avec ses fans de Désirs d'avenir. "La victoire, vous ne la rencontrerez que si vous la forcez!", lançait-elle pour galvaniser ses troupes, citant François Mitterrand, trois fois candidat avant d'accéder à l'Elysée.

Réaction de Le Guen, soutien de Hollande



L'ex-patron des socialistes François Hollande est arrivé en tête du premier tour de la primaire du PS pour désigner son candidat à la présidentielle. Jean-Marie Le Guen, un des soutiens du candidat, préfère rester prudent sur une victoire de Hollande au 2e tour.

Hollande, "le bon candidat pour l'emporter"



Au soir du premier tour de la primaire socialiste, Jack Lang évoque "un acte démocratique historique". Il espère que "le respect mutuel soit préservé" entre les candidats.

Aubry "confiante et sereine" dimanche soir



La maire de Lille s'est déclarée "confiante et sereine" dimanche soir à l'arrivée à son QG à l'issue du premier tour de la primaire PS.

Royal a subi "le contrecoup de l'élection précédente"



Laurent Fabius, soutien de Martine Aubry, a estimé sur France 2, que Ségolène Royal avait fait une "campagne forte" mais que les électeurs ont jugé que ce n'était pas "son moment".

Ségolène Royal, grande perdante de la primaire PS



Nos éditorialistes politiques commentent les résultats du 1er tour de la primaire PS, qui a vu Ségolène Royal, avec 6,9% des voix, arriver en 4ème position derrière Hollande, Aubry et Montebourg, démentant ainsi les sondages qui la plaçaient en 3ème position.

"Un succès", selon le porte-parole de Montebourg



D’après les dernières estimations, Arnaud Montebourg arrive en 3e position avec 17,2% des voix sur 1,5 million de votants. Selon Bertrand Monthubert, porte-parole du candidat, "beaucoup de gens sont venus voter parce qu’Arnaud Montebourg était candidat".

Primaire PS : le succès de la participation



La participation devrait approcher les deux millions de votants pour le premier tour de ce scrutin inédit en France pour désigner le candidat du PS pour la présidentielle de 2012.

Primaire PS : le vote sous la tente ou au restaurant



Près de 10.000 bureaux de vote ont permis le déroulement du premier tour mais devant les refus de certaines municipalités de droite de prêter une salle, le vote a parfois eu lieu au restaurant ou même sous tente.

Primaire PS : le décryptage de François Bachy



François Bachy, notre spécialiste politique, décrypte le succès du premier tour de la primaire socialiste dont la participation et le ton cordial sont un succès.

Primaire PS : le vote de DSK



Dominique Strauss-Kahn a voté à l'hôtel de ville de Sarcelles, dans le Val-d'Oise, lors du premier tour de la primaire socialiste, indiquant à la presse que son choix s'était porté sur Martine Aubry.

Le sourire des militants au QG de Hollande



Les militants affichent un large sourire à l'annonce des premier résultats. Pour l'heure, François Hollande est toujours chez lui mais il devrait venir à la maison de l'Amérique latine où l'attendent ses amis.

"Tout va bien" au QG de Martine Aubry



Martine Aubry affiche un large sourire à son QG à l'annonce des premiers résultats qui la donnent deuxième avec 30% des voix, derrière François Hollande, crédité de 40% des voix.

Des visages fermés au QG de Ségolène Royal



La candidate s'est isolée avec ses plus proches conseillers après le coup de massue des premiers résultats. Elle devrait toutefois faire une déclaration à la tribune.

Copé ironise sur la synthèse que va devoir faire Hollande



Le patron de l'UMP a souligné, sur France 2, la quadrature du cercle qui va être celle de François Hollande qui va devoir faire la synthèse entre un "Baylet qui veut dépénaliser le canabis", "Montebourg et la mondialisation" et "Aubry et la gauche dure".

Primaire PS : vers un duel Hollande-Aubry, percée de Montebourg

Sur la base d'un décompte partiel sur 1,5 million de voix, Hollande arrive en tête (39%), suivi d'Aubry (31%) et de Montebourg (17%). Vers 17h, le PS annonçait que le cap du million et demi de votants avait déjà été dépassé. Voici les dernières informations sur le vote.

Dimanche 9 octobre : c'est le premier tour -de la primaire socialiste. La Haute autorité espère donner les premières indications officielles de résultats, et notamment la participation, vers 21h30. Voici minute par minute, les dernières informations sur le scrutin socialiste.

- 21h. Hollande passe à 39%, Aubry à 31%. Selon le site du Parti socialiste, le score de François Hollande passe de 40 à 39% sur la base de 1.488.000 voix décomptées. Martine Aubry remonte quant à elle à 31%.

- 20h53. Grosse déception au QG de Ségolène Royal. Selon l'envoyée spéciale de LCI sur place, l'ambaince était "glaçante" au QG de Ségolène Royal, qui n'arrive qu'en 4e postion du premier tour avec 7% des voix. Un gros désaveu pour l'ex-candidate PS à la présidentielle de 2007, dont certains des supporters "ont les larmes aux yeux" dimanche soir.

- 20h43. Hollande toujours en tête sur 1 million de voix décomptées. François Hollande en tête avec 40%, suivi de Martine Aubry (30%) et d'Arnaud Montebourg (17%). Selon ces chiffres, similaires à ceux précédemment annoncés, qui portaient
sur 849.000 voix, Ségolène Royal, candidate PS à la présidentielle de 2007, arrive en quatrième position avec 7%, devant Manuel Valls (5%) et Jean-Michel

- 20h43. Prudence avec des estimations qui pourraient se "resserrer" : Benoît Hamon, porte-parole du PS, a invité dimanche soir sur i-TELE à rester prudents face à de premières estimations, qui portent, a-t-il souligné, sur des "petits bureaux" de vote et pourraient bien "se resserrer".

- 20h32. Sourire figé au QG de François Hollande. Selon l'envoyée spécial de LCI sur place, les partisans de François Hollande, qui arrive en tête du 1er tour (résultats partiels) ont le sourire dimanche soir. Toutefois, l'inquiétude demeure car au fur et à mesure de la soirée, l'écart sembklait se resserrer avec Martine Aubry, qui profite du vote des grandes villes.

- 20h23. Hollande en tête. Sur la base d'un décompte partiel sur 849.000 voix, Hollande arrive en tête (40%), suivi d'Aubry (30%) et de Montebourg (17%), a annoncé le PS. Suivent Ségolène Royal (7%), Manuel Valls (5%) et Jean-Michel Baylet (1%).

- 20h13. "Une excellente journée pour le PS". Laurent Fabius, soutien de Martine Aubry, a assuré sur France 2, au soir du premier tour de la primaire PS, que ce dimanche avait été "une excellente journée pour la démocratie, pour la gauche et pour le PS", mais qu'elle était "un peu inquiétante" pour Nicolas Sarkozy.

- 20h10 : la soirée est aussi une guerre psychologique. Dans le camp de Martine Aubry, on affirme qu'il faut attendre le dépouillement dans les grandes zones urbaines et que les deux candidats en tête sont entre 30 et 40%.

- 20h05 : Jean-François Copé relativise le succès de la primaire sur France 2 car "seuls 4 Français sur 100" sont allés voter.

- 19h50 : selon les premières estimations données par l'entourage de François Hollande, ce dernier serait en tête avec plus de 40% des voix devant Martine Aubry, Arnaud Montebourg, Ségolène Royal, Manuel Valls et Jean-Michel Baylet.

- 19h45 : Hollande et ses proches attendent les résultats au domicile parisien du député de Corrèze. A son QG de campagne près du siège du PS, les visages sont souriants.

- 19h00 - Plus de 1,5 million de votants à 17H00 sur les 3/4 des bureaux de vote, annonce Harlem Désir. Les bureaux sont officiellement fermés. Voir aussi notre papier : "participation : pari réussi pour le PS"

- 18h10. 2 millions de votants ? Jean-Pierre Mignard, porte-parole de la Haute autorité des primaires (HAP), s'attendait dimanche à plus de 2 millions de votants, en estimant que cette "barre" était "peut-être (déjà) atteinte" pour le premier tour de scrutin. Il restait moins d'une heure avant la clôture des bureaux de vote.

- 18h05. Pour Hamon, "au dessus d'un million, c'est du bonus". Le porte-parole du PS Benoît Hamon est revenu sur LCI sur l'organisation de la primaire PS qui s'est ouverte dimanche et sur son succès annoncé.

-17h25. Guéant s'inquiète de risques juridiques. La primaire socialiste, "une initiative intéressante", pose un problème au regard des droits de l'Homme, a estimé dimanche Claude Guéant, qui s'inquiète d'une possible violation du secret du vote inscrit dans la Constitution française.

- 17h16. INFO LCI : 100.000 bulletins réimprimés pour les bureaux de vote de Paris.

- 17h02. Dominique Strauss-Kahn a voté dimanche après-midi à l'hôtel de ville de Sarcelles (Val-d'Oise) lors du premier tour de la primaire socialiste, indiquant à la presse que son choix s'était porté sur Martine Aubry. "Ce n'est un secret pour personne, j'ai voté pour Martine Aubry", a répondu l'ancien directeur du Fonds monétaire international à un journaliste qui lui posait la question, en regagnant son véhicule.

- 16h12. "Une très bonne méthode", selon Raffarin : L'ancien Premier ministre UMP a jugé dimanche sur Canal+ que le processus de la primaire était une "très bonne méthode" qui présente cependant un inconvénient, celui de "désigner un vainqueur six mois avant" la présidentielle, qui "devra tenir" la distance.

- 15h31. Le million dépassé ! Premier objectif atteint : le cap du million de votants à la primaire est d'ores et déjà dépassé, a annoncé Christophe Borgel, secrétaire national PS à la vie des fédérations. A noter que les bureaux de vote doivent fermer à 19 heures. "La seule chose qu'on peut dire pour le moment c'est que le seuil d'un million de votants que nous imaginions commme étant le seuil de base pour avoir la réussite de la primaire est dépassé et sera dépassé ce soir", a déclaré le secrétaire national.

- 14h23. Information qui tend à prouver le succès de l'opération, le site internet du Parti socialiste primairescitoyennes.fr, victime de son succès, était toujours dimanche à la mi-journée en partie saturé, seule la liste des bureaux de vote concernés par cette primaire étant accessible.

- 14 heures, premières estimation : 744.527 votants. Alors que, depuis 9 heures d u matin ce dimanche, les sympathisants de gauche sont invités à désigner le candidat du PS en 2012, Harlem Désir, premier secrétaire par intérim du Parti socialiste, a fourni peu avant 14 heures une première évaluation partielle de la participation. A 13 heures, sur les deux-tiers des bureaux de vote, on comptait ainsi 744.527 votants. Soit "un succès au-delà de ce que nous espérions", a estimé Harlem Désir, qui avance que le PS est en voie d'atteindre voire de dépasser l'objectif des 2 millions de votants pour cette primaire. Avant cette annonce, déjà, lles premiers témoignages évoquaient une participation forte dans les bureaux de vote ; le site internet, lui, était saturé.

- 13h34. Montebourg mise sur "deux millions" de votants" : "Si les deux premières heures de la matinée se confirment, nous serons à plus de deux millions de participants. La France a décidé de s'emparer des conditions de son changement", s'est réjoui le candidat.

- Dimanche matin, les candidats sur le pont. Pour ce scrutin qui constitue une première, à la fois pour le PS et pour la vie politique française, la plupart des candidats en lice ont voté dès dimanche matin dans leurs fiefs respectifs, comme Martine Aubry dans le Vieux-Lille, Arnaud Montebourg en Saône-et-Loire ou encore Manuel Valls à Evry, qui s'est dit "serein" et a prédit une forte participation. Sérénité affichée aussi pour Martine Aubry, qui en mettant son bulletin dans l'urne à Lille, a dit espérer que les électeurs "choisiront le vrai changement". "Je suis plein d'espoir car je pense que cette procédure des primaires va nous permettre d'arriver très forts devant la droite et l'extrême droite après le 9 ou le 16 octobre", a déclaré de son côté François Hollande, le favori des sondages. Sauf si un candidat obtient plus de 50% des voix ce dimanche, un second tour aura lieu dimanche prochain entre les deux finalistes. Une convention d'investiture du gagnant est prévue le 22 octobre.

- 9 heures : Ouverture des bureaux de vote. Les sympathisants de gauche sont appelés ce dimanche aux urnes pour le premier tour de la primaire socialiste, scrutin inédit en France, pour désigner parmi six concurrents leur champion pour la présidentielle de 2012.

Primaires Citoyennes: le dépouillement a commencé


Primaires Citoyennes: le dépouillement a commencé par PartiSocialiste

Primaires Citoyennes: le dépouillement a commencé

Estimation primaire PS : Hollande en tête



François Hollande arrive en tête de la primaire socialiste, avec 40% des suffrages exprimés, devant Martine Aubry (30%) et Arnaud Montebourg (17%), selon des résultats partiels, portant sur un million de votants, publiés sur le site officiel du scrutin.

Primaire PS : l’attente des résultats dans les QG



Alors que les premières estimations du premier tour de la primaire socialiste commencent à arriver, dans les QG des candidats, on prône la prudence tant que les résultats ne sont pas définitifs. Le camp de Ségolène Royal espère profiter de la forte participation.

Point presse d'harlem Désir : les estimations de participation à 19h


Point presse d'harlem Désir : les estimations de... par PartiSocialiste

Point presse d'harlem Désir : les estimations de participation à 19h

Critique de la primaire PS : un document révèle les éléments de langage de l'UMP

Dans un document de deux pages produit par l'UMP et communiqué au Monde.fr via le direct, le parti présidentiel liste les arguments pour contrer la primaire menée par le parti socialiste.

Produit par l'UMP , il a été remis aux hauts responsables des fédérations après le premier débat télévisé entre les six candidats à la primaire socialiste et a de nouveau été distribué mercredi 5 octobre à l'issue du bureau politique, l'instance qui réunit les hauts dirigeants du parti.

Premier élement : relativiser la portée du scrutin : "Une consultation privée, aussi grande soit-elle, ne fait pas une consultation. C'est en 2012 que l'élection présidentielle aura lieu, pas en octobre 2011."

Deuxième élément : pointer les divisions à gauche : "La primaire PS montre bien la difficulté du PS à désigner un candidat. Faire arbitrer les querelles d'ego par les électeurs, cela montre bien le désarroi de cet ancien grand parti, devenu parti de chapelles, de clans."

Troisième élément : critiquer la stature du candidat choisi : "Le choix d'un candidat ne résout pas le problème du programme, inapplicable parce que déconnecté des réalités économiques de notre pays. Il faudra un président protecteur et volontaire sur le plan international comme l'est Nicolas Sarkozy plutôt qu'un président de conseil général, de conseil régional, ou maire d'une grande ville."

Hollande en tête (40%) devant Aubry (30%) et Montebourg (17%) sur 500.000 voix (AFP)

Hollande en tête (40%) devant Aubry (30%) et Montebourg (17%) sur 500.000 voix (AFP)

Primaire : le PS "prêt pour 2012", affirme Désir



Le Premier secrétaire du PS par intérim, Harlem Désir, a déclaré ce dimanche soir que "l’immense succès" du premier tour de la primaire montre que le PS est "prêt pour le grand rendez-vous" de la présidentielle 2012.

Réactions de l’UMP au succès de la primaire PS



Avec un nombre de participants relativement élevé, la primaire socialiste est une réussite. Du côté de l’UMP, certains y voit une remise en question de leur parti. Mais des militants n’hésitent pas à minimiser cette participation.

LCI - Le journal de 16h du 9 octobre 2011



Exclusif LCI - Quatre JT par jour pour un tour d'horizon complet de l'actualité.

Primaire PS : déjà 1,5 million de votants, le PS très satisfait

Vers 17h, le PS annonçait que le cap du million et demi de votants avait déjà été dépassé. Selon LCI, 100.000 bulletins ont été réimprimés à Paris. Voici les dernières informations sur le vote.

Dimanche 9 octobre : c'est le premier tour -de la primaire socialiste. L'exercice (voir ici comment voter) est inédit. En lice : Martine Aubry, François Hollande, Arnaud Montebourg, Ségolène Royal, Manuel Valls, et Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche. Faute d'avoir obtenu le droit d'organiser la primaire dans les "vrais" bureaux de vote, le PS a mis en place 9600 bureaux de vote.

Pour l'heure, la primaire est d'ores et déjà une réussite, vu le nombre de particpants. La Haute autorité espère donner les premières indications officielles de résultats, et notamment la participation, vers 21h30, soit deux heures et demie après la fermeture des bureaux. Voici minute par minute, les dernières informations sur le scrutin socialiste.


- 19h45 : Hollande et ses proches attendent les résultats au domicile parisien du député de Corrèze

- 19h00 - Plus de 1,5 million de votants à 17H00 sur les 3/4 des bureaux de vote, annonce Harlem Désir

- 18h10. 2 millions de votants ? Jean-Pierre Mignard, porte-parole de la Haute autorité des primaires (HAP), s'attendait dimanche à plus de 2 millions de votants, en estimant que cette "barre" était "peut-être (déjà) atteinte" pour le premier tour de scrutin. Il restait moins d'une heure avant la clôture des bureaux de vote.

- 18h05. Pour Hamon, "au dessus d'un million, c'est du bonus". Le porte-parole du PS Benoît Hamon est revenu sur LCI sur l'organisation de la primaire PS qui s'est ouverte dimanche et sur son succès annoncé.

-17h25. Guéant s'inquiète de risques juridiques. La primaire socialiste, "une initiative intéressante", pose un problème au regard des droits de l'Homme, a estimé dimanche Claude Guéant, qui s'inquiète d'une possible violation du secret du vote inscrit dans la Constitution française.

- 17h16. INFO LCI : 100.000 bulletins réimprimés pour les bureaux de vote de Paris.

- 17h02. Dominique Strauss-Kahn a voté dimanche après-midi à l'hôtel de ville de Sarcelles (Val-d'Oise) lors du premier tour de la primaire socialiste, indiquant à la presse que son choix s'était porté sur Martine Aubry. "Ce n'est un secret pour personne, j'ai voté pour Martine Aubry", a répondu l'ancien directeur du Fonds monétaire international à un journaliste qui lui posait la question, en regagnant son véhicule.

- 16h12. "Une très bonne méthode", selon Raffarin : L'ancien Premier ministre UMP a jugé dimanche sur Canal+ que le processus de la primaire était une "très bonne méthode" qui présente cependant un inconvénient, celui de "désigner un vainqueur six mois avant" la présidentielle, qui "devra tenir" la distance.

- 15h31. Le million dépassé ! Premier objectif atteint : le cap du million de votants à la primaire est d'ores et déjà dépassé, a annoncé Christophe Borgel, secrétaire national PS à la vie des fédérations. A noter que les bureaux de vote doivent fermer à 19 heures. "La seule chose qu'on peut dire pour le moment c'est que le seuil d'un million de votants que nous imaginions commme étant le seuil de base pour avoir la réussite de la primaire est dépassé et sera dépassé ce soir", a déclaré le secrétaire national.

- 14h23. Information qui tend à prouver le succès de l'opération, le site internet du Parti socialiste primairescitoyennes.fr, victime de son succès, était toujours dimanche à la mi-journée en partie saturé, seule la liste des bureaux de vote concernés par cette primaire étant accessible.

- 14 heures, premières estimation : 744.527 votants. Alors que, depuis 9 heures d u matin ce dimanche, les sympathisants de gauche sont invités à désigner le candidat du PS en 2012, Harlem Désir, premier secrétaire par intérim du Parti socialiste, a fourni peu avant 14 heures une première évaluation partielle de la participation. A 13 heures, sur les deux-tiers des bureaux de vote, on comptait ainsi 744.527 votants. Soit "un succès au-delà de ce que nous espérions", a estimé Harlem Désir, qui avance que le PS est en voie d'atteindre voire de dépasser l'objectif des 2 millions de votants pour cette primaire. Avant cette annonce, déjà, lles premiers témoignages évoquaient une participation forte dans les bureaux de vote ; le site internet, lui, était saturé.

- 13h34. Montebourg mise sur "deux millions" de votants" : "Si les deux premières heures de la matinée se confirment, nous serons à plus de deux millions de participants. La France a décidé de s'emparer des conditions de son changement", s'est réjoui le candidat.

- Dimanche matin, les candidats sur le pont. Pour ce scrutin qui constitue une première, à la fois pour le PS et pour la vie politique française, la plupart des candidats en lice ont voté dès dimanche matin dans leurs fiefs respectifs, comme Martine Aubry dans le Vieux-Lille, Arnaud Montebourg en Saône-et-Loire ou encore Manuel Valls à Evry, qui s'est dit "serein" et a prédit une forte participation. Sérénité affichée aussi pour Martine Aubry, qui en mettant son bulletin dans l'urne à Lille, a dit espérer que les électeurs "choisiront le vrai changement". "Je suis plein d'espoir car je pense que cette procédure des primaires va nous permettre d'arriver très forts devant la droite et l'extrême droite après le 9 ou le 16 octobre", a déclaré de son côté François Hollande, le favori des sondages. Sauf si un candidat obtient plus de 50% des voix ce dimanche, un second tour aura lieu dimanche prochain entre les deux finalistes. Une convention d'investiture du gagnant est prévue le 22 octobre.

- 9 heures : Ouverture des bureaux de vote. Les sympathisants de gauche sont appelés ce dimanche aux urnes pour le premier tour de la primaire socialiste, scrutin inédit en France, pour désigner parmi six concurrents leur champion pour la présidentielle de 2012.

Un "tweet" dans les rouages

- Des premières fuites sur Twitter. Des fuites de résultats d'Outre-Atlantique ont déjà suscité des protestations parmi les candidats et organisateurs. Interrogé par BFMTV sur le vote des Français de Montréal qui, selon Twitter et certains médias, aurait donné Martine Aubry en tête, son principal rival François Hollande a jugé "tout à fait anormal qu'on connaisse ce résultat, moi je connais d'autres résultats et je ne les donnerai pas". Et le député de Corrèze d'ajouter : "Normalement ce résultat, s'il était connu, devrait être annulé". Un point de vue partagé par Manuel Valls, également interrogé sur le sujet au moment de déposer son bulletin dans l'urne dimanche matin.

Primaire PS : militants et sympathisants au rendez-vous



Dimanche, c'était le premier tour de la primaire PS. Partout en France, les électeurs ont répondu en nombre à l'appel à voter des socialistes. Tour d'horizon.

Participation à la primaire PS : l'annonce des premiers chiffres

Pour Harlem Désir, “Le PS est prêt pour le grand rendez-vous de 2012″

Harlem Désir, premier secrétaire par intérim du PS, a estimé dimanche soir qu’au vu de “l’immense succès” du premier tour des primaires, le PS était “prêt pour le grand rendez-vous” de la présidentielle de 2012.

M. Désir a appelé les Français, “s’il devait y avoir un deuxième tour, à amplifier le succès de ce premier tour historique”.


(AFP)

Succès à gauche pour le 1er tour de la primaire



Primaire PS et commune UMP ne font pas toujours bon ménage. La preuve en est notamment au Raincy où le maire Eric Raoult n’a pas souhaité prêter d’écoles pour héberger les bureaux de vote. Une décision qui n’a cependant pas empêché les votants de venir en masse.

Primaire PS : cap du million de votants dépassé



La désignation du candidat socialiste pour la présidentielle de 2012, dans une primaire ouverte à tous les sympathisants de gauche, s'annonce comme un succès. A 14h30, le cap du million de votants a été dépassé dans les bureaux de vote.

Primaire : bureaux de vote ouverts jusqu’à 19h



Dans le 19e arrondissement de Paris, après une forte affluence entre 9h30 et 11h30, les votants sont moins nombreux depuis la mi-journée. Dylan Boutiflat, président de bureau de vote, pense "largement dépasser les 10% de participation ", ce qui est "le signe d’une forte mobilisation".

La semaine des Guignols - Semaine du 03/10

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La semaine des Guignols - Semaine du 03/10

Bussereau : la primaire PS "est un succès"



Dominique Bussereau (UMP), rival de Ségolène royal en Poitou-Charentes, a reconnu sur BFMTV que la primaire socialiste "est un succès". L’ancien ministre des Transports ajoute que cela doit faire réfléchir la majorité.

Jean-Pierre Raffarin : « Il faut un Sarkozy nouveau »

Tirant les leçons de la crise mondiale et des échecs électoraux de la droite, l'ancien Premier ministre exhorte le chef de l'État à avancer la date de lancement de sa campagne présidentielle.

Le Figaro Magazine - Jean-Louis Borloo a renoncé, dimanche dernier surTF1, à se présenter à l'élection présidentielle de2012. Vous avez été surpris par cette annonce?

Jean-Pierre Raffarin - Non, je n'ai pas été surpris. Je comprends sa décision. Son offre politique était originale, mais paradoxale. Originale, car il renouvelait le message du centre avec, notamment, le contenu du Grenelle de l'environnement. Mais paradoxale, car si sa candidature pouvait être un atout pour le second tour, elle était un handicap pour le premier ! Le chemin était difficile et le risque d'un 21 avril à l'envers, réel. Cette décision est importante pour la qualification de Nicolas Sarkozy au second tour.

Donc c'est une bonne nouvelle pour Nicolas Sarkozy et l'UMP?

Évidemment. Mais il reste nécessaire d'élargir l'actuelle base politique de l'UMP. En ce sens, l'action de Jean-Louis Borloo, en particulier, mais aussi l'action du centre resteront essentielles pour cet élargissement.

Il n'a pas dit clairement qu'il soutiendrait Nicolas Sarkozy. Quelle doit être sa place maintenant dans la campagne?

Les thématiques que Jean-Louis Borloo pouvait porter doivent être intégrées à notre plate-forme politique. Notre responsabilité sera ensuite de trouver son rôle dans notre projet.

François Bayrou peut-il être le candidat du centre?

François Bayrou a la légitimité pour le faire. Il a aujourd'hui une opportunité pour fédérer le centre, mais il ne peut pas renouveler sa stratégie de 2007. Tout dépend de lui. Le voudra-t-il? Le pourra-t-il? Nous verrons.

Vous le souhaiteriez?

Je souhaite la victoire de Nicolas Sarkozy. Car je suis très inquiet de la situation politique, économique et sociale de la France, dans un monde en complet bouleversement. L'élection du mois de mai se fera dans un contexte de grande gravité. Je crois que le rassemblement d'une majorité à droite, en France, passe par le rassemblement de ceux qui veulent protéger la France de la tourmente mondiale. Pour l'emploi, la sécurité et le pouvoir d'achat.

Quelles leçons Nicolas Sarkozy doit-il tirer de la perte du Sénat par l'UMP?

Reconnaissons d'abord la défaite, même si pour beaucoup, on a plus donné que perdu le Sénat. Le dialogue entre l'exécutif et les élus locaux s'est soldé par une incompréhension profonde. Le recul de la décentralisation a été un contresens. Nous avons payé «cash» le virage jacobin de l'exécutif. Même si cette élection est complètement déconnectée de la présidentielle, il n'en reste pas moins nécessaire aujourd'hui de renouer un dialogue authentique avec les territoires de France et les forces vives enracinées dans ces territoires. L'absurdité est au maximum quand les territoires jouent contre l'État.

Le Président peut-il entendre cet argument?

Nicolas Sarkozy est à la fois lucide et direct. Et il sait entendre les messages lucides et directs.

Popularité en berne, sondages électoraux défaitistes, inquiétudes dans son propre camp... Croyez-vous vraiment que Nicolas Sarkozy puisse encore gagner en2012?

Il faut qu'il gagne car l'avenir du pays est menacé par un bouleversement mondial de très grande ampleur. Le monde est déboussolé. L'histoire change de cap. La richesse passe de l'Ouest à l'Est. Le développement passe du Nord au Sud. La rupture en 2012, c'est celle du monde. Trois changements majeurs se profilent: le monde sera plus asiatique qu'américain; l'Europe plus bilatérale (avec le couple franco-allemand) que multilatérale; la France connaîtra un grand mouvement démographique en entrant dans l'ère post-baby-boom, la génération 68 se retirant progressivement de la vie active alors qu'elle a pesé sur tous les choix de la France de manière significative depuis cette date.

Que doit changer le Président pour y arriver?

Pour une France nouvelle, il faut un Sarkozy nouveau. Dans ce contexte, la continuité ne peut être victorieuse. Nicolas Sarkozy doit porter la rupture de la rupture. Il doit porter le changement. Il peut être la force qui protège. Il doit trouver de nouvelles propositions, comme la taxe anti-délocalisations, favoriser la mise en commun de certaines politiques avec l'Allemagne (sur la recherche, l'agriculture, la fiscalité...), s'adresser aux nouvelles générations préoccupées de développement durable, de maîtrise de la dette et d'éducation. Au-delà des propositions nouvelles, il doit également changer ses équipes de campagne et incarner lui-même ces changements.

Quand ce nouveau Sarkozy doit-il apparaître?

Tout peut commencer après le G20 de novembre. Cette réunion sera l'acte de naissance du monde nouveau. C'est à ce moment-là que le Président devra, avec force, vision, énergie, générosité envoyer son message et s'engager dans un grand effort national de pédagogie; candidat tard mais pédagogue tôt. Les schémas anciens vont disparaître avec le monde ancien. Il ne faut surtout pas faire le pari d'une campagne magique et d'un effet de séduction. Il faut faire partager au pays l'urgence du sursaut national dans un monde très agité. C'est un effort pédagogique de terrain vis-à-vis de toutes les catégories professionnelles. C'est vraiment un don de soi, qui n'a rien d'une campagne courte ou d'une action marketing.

C'est le discours du sang, de la sueur et des larmes que doit faire Sarkozy?

Non, c'est le discours du changement. Face au camp de l'immobilisme, le camp socialiste, c'est le mouvement qui peut sauver la France. Elle a des atouts mais elle est menacée, comme tous les pays du monde occidental, par la concurrence des pays émergents. Si elle reste dans une logique de continuité, d'immobilisme, elle sera emportée et nous ne serons plus que spectateurs du nouveau monde. L'enjeu de 2012, c'est de rester un acteur du nouveau monde. D'où un choix nouveau, qui ne se réduit pas à un choix électoral. C'est une analyse de fond qui nécessite de lancer la campagne très en amont.

En2007, Nicolas Sarkozy avait réussi la synthèse en parlant à l'électorat centriste et à l'électorat populaire. Peut-il encore y arriver?

Nous allons assister à l'élection la moins marketing de notre histoire. Ce qui se joue en 2012, c'est la survie du destin français. Il faudra à la fois un langage de vérité - expliquer qu'il n'y a pas d'avenir sans maîtrise de notre dette, sans stratégie de croissance verte, sans repenser notre système éducatif -, mais aussi une vision d'avenir. Et on ne peut pas gagner si on n'apporte pas la réponse française à la question mondiale.

Une des réponses apportées par Arnaud Montebourg, dans la primaire duPS, est de prôner la démondialisation. Qu'en pensez-vous?

C'est la fin du destin français : s'enfermer dans un monde qui s'ouvre. De ce point de vue, Manuel Valls est plus ouvert que ses concurrents. Il faut avoir la lucidité de comprendre que la force française doit s'appuyer sur les mouvements du monde pour rester une force. Elle n'a aucune chance d'être pérenne en fermant ses volets.

Devant le succès des débats organisés pour la primaire duPS, des voix à droite s'élèvent pour en réclamer en2017. Vous y êtes favorable?

J'ai toujours pensé qu'il n'y avait pas de place dans le camp du Président contre le Président. C'est lui qui détient la légitimité. En revanche, quand on est dans l'opposition, organiser des primaires pour conquérir la légitimité, c'est utile. Les primaires sont une idée fertile, mais les socialistes n'ont pas été au bout de l'esprit républicain. Ils n'ont pas réglé la question essentielle de la protection de l'anonymat du vote républicain. Comment un fonctionnaire d'une mairie pourra-t-il voter en conservant son anonymat ?

Alain Juppé peut-il être un recours si Nicolas Sarkozy ne se représente pas?

La question du recours est une question impossible. Dans la Ve République, elle est nécessairement malveillante.

Par Carl Meeus

François Hollande : 1er tour des Primaires citoyennes


1er tour des Primaires citoyennes par francoishollande

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