samedi 7 avril 2012
Oise : Hollande déchaîne les passions à Creil (Témoin BFMTV)
Marine Le Pen dénonce le "fascisme doré des banques"
Meeting très offensif de Marine Le Pen ce samedi à Lyon
Présidentielle : Valérie Trierweiler sort de sa discrétion dans un long entretien
Présidentielle : une journée avec François Hollande
9h00 : François Hollande a commencé sa journée dans un hôtel à Vaulx-en-Velin dans le Rhône, une région dont il évoque le taux de chômage « inacceptable ».
Il parle aussi de ses petits rituels du matin : se lever tôt, écouter toutes les stations de radio, regarder BFMTV « notamment la chronique de Bourdin », lire la presse. Au sujet de propos tenus par Nicolas Sarkozy le même jour sur une éventuelle corruption au PS, Hollande affirme : « On l’interroge sur la campagne de 2007 et il parle d’autre chose. Quand ne répond pas à la question, c’est qu’il y a malice ».
13h30 : Le candidat socialiste a tenu un meeting en plein-air . Un moyen selon lui d’aller «au plus près des gens», «on plante son micro et ça ne coûte rien» a-t-il ajouté. Interrogé sur le rassemblement de Nicolas Sarkozy à la Concorde, François Hollande a raillé son adversaire en évoquant plutôt « le quinquennat de la discorde».
19h00 : On retrouve François Hollande à la gare de Lyon avant son départ pour Creil où il doit tenir son dernier meeting du jour.
22h00 : La journée du candidat se termine à Creil. Il affirme être « heureux et fier de sa campagne » et appelle les électeurs à se mobiliser dès le premier tour.
Nicolas Sarkozy s'adresse aux électeurs du Front national
vendredi 6 avril 2012
Présidentielle : les favoris ont désormais présenté leur programme
Cinq applis pour se rendre aux urnes
Petites phrases politiques
Ça balance pas mal durant les discours et les interviews. Candidat par candidat, cette application recence quotidiennement les petites phrases et autres tacles adressés aux rivaux. On peut «liker» («bien dit») ou «disliker» («c'est nul») chaque phrase, les ajouter dans une rubrique Favoris, voire les partager sur les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter, mais aussi par mail et SMS.
La boussole électorale
Vous ne savez pas pour qui voter? Deux questionnaires politiques et un questionnaire «mode de vie» vous aident à vous positionner et à déterminer si votre cœur et vos idées penchent plutôt à gauche, au centre, à droite… A chaque question, trois réponses possibles.
Si j'étais président
«Capter partout, même dans les endroits où on ne capte pas»; «Plus de frites à la cantine»; «Produire enfin un cassoulet qui ne fait pas péter», mais aussi «Diminuer le coût de l'essence», ou encore «Instaurer un SMIC plus élevé»… Cette démocratique application permet à chacun de ses utilisateurs de proposer ses idées pour être élu président de la République française. Qui a dit qu'il n'y avait pas débat?
Président 2012 - Participer au sondage
Sans aucune valeur, sinon celle qu'on accepte de lui donner, cette application invite chacun de ses utilisateurs à voter pour son candidat préféré, voire à se rétracter. Pour l'heure, il semble que les partisans de Marine Le Pen l'aient majoritairement téléchargée, la candidate FN arrivant en tête avec 34,7% des intentions de vote. Gratuit sur l'App Store et Google play.
Voxe.org
Autoproclamé «comparateur neutre de programmes», cette application oppose domaine par domaine (économie et emploi ; politique étrangère, justice, environnement, etc.) les propositions des candidats. Pour cela, il suffit de sélectionner deux candidats parmi les dix en lice, ce qui permet de confronter leur point de vue sur telle ou telle question. Dommage que certaines cases vides demeurent. Gratuit sur l'App Store et Google play.
jeudi 5 avril 2012
lundi 19 mars 2012
Course d'endurance pour les candidats Hollande et Sarkozy
Le rythme de la campagne s'accélère pour les candidats à la présidentielle. François Hollande et Nicolas Sarkozy enchaînent les déplacements, les meetings et les interventions télévisées.
Bourdin 2012 : Marine Le Pen
Jean-Jacques Bourdin reçoit Marine Le Pen, candidate du Front National à l'élection présidentielle
Place comble à la Bastille, où Mélenchon a tenu un grand meeting
Jean-Luc Mélenchon a rassemblé ce dimanche des dizaines de milliers de sympathisants au Front de gauche lors d'une grande marche convergeant vers la Bastille où, lors d'un discours à ciel ouvert, celui-ci a dessiné les contours de la VIème République qu'il appelle de ses voeux.
L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a jugé, à l’issue du discours de Jean-Luc Mélenchon à la Bastille, que ce dernier allait "de plus en plus peser" dans la campagne et que François Hollande risquait de "dériver" "vers la gauche plutôt que vers le centre".
Marine Le Pen sur BFMTV : "la culture de gauche a contaminé la droite"
Marine Le Pen, invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, dénonce la politique de Jean-Luc Mélenchon sur l'immigration, expose ses solutions contre l'insécurité et accuse "la culture de gauche" d'avoir "contaminé la droite".
Présidentielle : le CSA impose de nouvelles règles d'équité
Depuis le début de l'année, les "petits" candidats dénoncent l'occupation médiatique de Nicolas Sarkozy et de François Hollande. Mais dès mardi 20 mars, tous les prétendants à l'Elysée auront le même temps de parole à la radio et à la télévision.
Pour Jean-Louis Debré Debré, l'annonce de la liste définitive des candidats ce lundi 19 mars à 17h30 au Conseil constitutionnel "sera un moment solennel", puisqu'"on sera entré dans la campagne officielle, avec tous les candidats en présence, et égalité de parole entre eux" sur les médias audiovisuels.
Deux périodes s'ouvriront, avec remise à zéro des compteurs entre les deux : de mardi jusqu'au 8 avril, radios et télés devront respecter l'égalité du temps de parole mais pourront décider dans quelle émission les candidats s'expriment. Puis l'égalité sera de mise également pour le temps d'antenne, avec obligation de programmes comparables pour tous les candidats.
Hollande imperturbable face à Sarkozy et à Mélenchon
Plus que 5 semaines avant le premier tour de l'élection présidentielle. Samedi, Nicolas Sarkozy a cogné sur son adversaire lors de son discours à Lyon. Mais François Hollande ne veut ni esquiver, ni encaisser les coups. Il continue de faire campagne, comme si de rien n'était.
Au lendemain de la volée de flèches décochée par son rival Nicolas Sarkozy, le candidat socialiste à l'Elysée François Hollande s'est dépeint dimanche, au Salon du Livre à Paris, en Sisyphe "infatigable, inépuisable", combattant sans relâche pour la victoire à la présidentielle.
"Le combat politique est un combat sans fin. Et moi, je suis un combattant", a proclamé François Hollande, toujours favori dans la course à l'Elysée, mais désormais parfois dépassé dans les sondages par Nicolas Sarkozy au 1er tour.
"Aujourd'hui, ce n'est pas que le rocher est plus lourd, c'est que j'arrive à un moment crucial", a-t-il dit à 35 jours du scrutin, voulant donner un sens positif au mythe grec dont le héros est condamné à pousser inlassablement un rocher jusqu'au sommet d'une montagne.
Se référant à Albert Camus qui voulait "imaginer Sisyphe heureux", le candidat a préféré voir dans cet acharnement une métaphore de "la persévérance, l'engagement, la volonté humaine, la ténacité" pour "arriver au plus haut". Et "même quand on arrive au plus haut, il faut toujours penser que rien n'est acquis, rien n'est fait (...) même dans l'après-victoire, tout doit être un recommencement. Toute victoire appelle après un nouveau combat", a-t-il souligné.
Présidentielle : les sondages montrent que l'élection sera serrée
Politique 2012 : chronique politique quotidienne
Fusillade à Toulouse : "similitudes" avec les meurtres de militaires, selon Sarkozy
Le président Nicolas Sarkozy a affirmé qu'il y avait "quelques similitudes" entre les meurtres récents de trois parachutistes à Toulouse et Montauban et celui lundi matin de trois personnes, dont deux enfants, devant une école juive de Toulouse, dans une déclaration à RFO.
"Il y a quelques similitudes mais c'est beaucoup trop tôt pour dire si ce lien est véritable ou pas. Seules la police et la justice nous diront les conséquences qu'il y a à en tirer", a affirmé Nicoals Sarkozy.
dimanche 18 mars 2012
vendredi 16 mars 2012
Le Petit Journal 16/03/12 - spéciale Nicolas Sarkozy
Le Petit Journal 16/03/12 - spéciale Nicolas Sarkozy
jeudi 15 mars 2012
Le Petit Journal 15/03/12 - Face à François Bayrou
Le Petit Journal 15/03/12 - Face à François Bayrou
vendredi 9 mars 2012
Le Petit Journal 09/03/12 - Marine le Pen face au Petit Journal
Le Petit Journal 09/03/12 - Marine le Pen face au Petit Journal
mardi 28 février 2012
VIDEO INTEGRALE : Parole de candidat avec François Hollande
VIDEO INTEGRALE : François Hollande était lundi soir l'invité de Parole de candidat, la nouvelle émission politique de TF1 présentée en direct par Laurence Ferrari. Il a répondu aux questions de Français et de plusieurs journalistes.
ArcelorMittal : Sarkozy promet des "propositions précises"
Pour l'usine ArcelorMittal de Florange, Nicolas Sarkozy promet de faire "des propositions très précises" dans jours à venir. L'État serait prêt à sortir 150 millions d'euros. Mais d'où vient cet argent ?
Présidentielle : François Hollande fait aussi campagne sur Internet
François Hollande mène sa campagne présidentielle jusque sur les réseaux sociaux. À chacune de ses interventions, la cellule web relaie les propos du candidat PS et riposte aux attaques.
François Hollande : "les Français méritent un beau débat pour l'élection présidentielle"
François Hollande a de nouveau pris position sur les hauts salaires, ce lundi sur TF1, annonçant que le taux d'imposition pour les salaires au-delà d'un million d'euros par an devrait être de 75%.
François Hollande fait campagne au Salon de l'Agriculture
Le candidat du PS à la présidentielle s'est rendu dès 7h30 ce mardi matin au Salon de l'Agriculture. Député de Corrèze, François Hollande a fait un clin d'oeil à Jacques Chirac, grand absent de cette 49e édition.
jeudi 23 février 2012
Bourdin 2012 : Jérôme Cahuzac
Jean-Jacques Bourdin reçoit Jérôme Cahuzac, Président PS de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale.
Qui est le plus riche candidat à la présidentielle 2012 ?
Revenus, biens immobiliers... L'Express liste le patrimoine des candidats à la présidentielle 2012. Entre un président qui a vu ses revenus augmenter depuis 2007 et un candidat PS à la présidentielle, François Hollande qui possède 1,1 million en bien immobiliers, vous saurez tous ou presque sur le patrimoine des prétendants à l'Elysée. Seul, Dominique de Villepin a refusé de répondre à l'hebdomadaire.
Nicolas Sarkozy déclare ainsi des revenus nets mensuels de 18.700 euros. A peine élu, en 2007, le chef de l'Etat avait augmenté son traitement de 170% pour l'aligner sur celui du Premier ministre, environ 18.700 euros brut par mois à partir de 2008. Nicolas Sarkozy possède un "patrimoine déclaré" de 2,3 millions d'euros (contre 2,143 Millions d'euros en 2007). Une valeur affectée par son divorce avec Cécilia. En outre, le président possède des parts dans un cabinet d'avocats spécialisé dans l'immobilier et "reste assujetti à l'impôt de solidarité sur la fortune" (ISF).
Trois enfants à charge pour Marine Le Pen
Le député et président du conseil général de Corrèze touche 8.300 euros d'indemnités mensuelles brutes et paye 5.217 euros d'impôts par an. Il ne possède ni actions ni Sicav. Il n'est pas soumis à l'ISF. Le patrimoine du député aurait été rééquilibré après sa séparation avec Ségolène Royal, la présidente de la région Poitou-Charentes. François Hollande aurait conservé la villa du couple à Mougins (Alpes-Maritimes) et laissé à son ex-compagne l'appartement de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il détient aussi des parts dans la société civile immobilière gérant les appartements cannois de son père et de son frère.
La présidente du Front national, Marine Le Pen, dispose de 6.200 euros nets mensuels, au titre, selon L'Express, de ses fonctions de députée européenne. Ces biens immobiliers ne sont pas estimés, ni son patrimoine. Ses impôts mensuels s'élèvent à 1.746 euros et sont "prélevés directement à la source par le Parlement européen", précise L'Express qui estime qu'elle ne vit pas dans le luxe ayant ses trois enfants à charge. Par contre, son patrimoine global est très difficile à évaluer car il est partagé entre les membres de la famille Le Pen et dans des sociétés civiles immobilières (SCI).
Un petit patrimoine pour Mélenchon
François Bayrou, candidat du MoDem, dispose pour sa part de 5.189 euros de revenus mensuels et possède des biens immobiliers à hauteur de 860.000 euros répartis entre une ferme dans le Béarn, avec des écuries et des pâturages, et d'un appartement parisien de 50 m2. Il payait en 2009, 5.383 euros d'impôt chaque année (non soumis à l'ISF).
Issu d'une famille modeste, le candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon aurait accumulé un petit patrimoine de 760.000 euros au fil de ses mandats électifs. Le député européen possède un appartement près de la gare de l'Est, à Paris, et une maison dans le Loiret, deux biens qui ont gagné en valeur depuis leur achat. Il déclare 6.200 euros de revenus mensuels, une épargne de 16.000 euros sur des livrets et n'a pas communiqué le montant de ses impôts. Il dit avoir vendu sa permanence électorale de Massy afin de dégager 150.000 euros pour sa campagne présidentielle.
L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin n'a pas répondu aux questions de L'Express. L'hebdomadaire évalue son patrimoine hors biens professionnels à 4 millions d'euros. Dominique de Villepin a notamment acheté en février 2010 un hôtel particulier dans le XVIIe arrondissement de Paris pour 3 millions d'euros.
Poutou sur le terrain à la rencontre de ses militants
A deux mois du premier tour, les meetings, les débats, les rencontres s'accélèrent pour les candidats. Philippe Poutou, le candidat du NPA, était à Beauvais pour rencontrer ses militants.
Fouquet's : Hollande pointe du doigt le "côté petit garçon" de Sarkozy
Présidentielle : l'écart se resserre entre les deux favoris
Réalisé par CSA pour BFMTV, RMC, 20 Minutes et CSC, ce sondage mesure l'évolution des intentions de vote pour le premier et le second tour de l'élection présidentielle, ainsi que l'entrée en campagne de Nicolas Sarkozy.
Malgré une baisse de 2 points, François Hollande continue de faire la course en tête avec 28% d’intentions de vote au premier tour. En deuxième position, Nicolas Sarkozy gagne 1 point (27%). Il devance toujours nettement Marine Le Pen (17%, -0,5) et François Bayrou (11%, -2). Suivent loin derrière Jean-Luc Mélenchon (9%, +1), Eva Joly (3%, +1), Dominique de Villepin (2%, +1) et Nicolas Dupont-Aignan (1,5%, +0,5). Les autres candidats ne dépassent pas 0,5% d’intentions de vote.
Dans l’équilibre des forces politiques, seule la droite gagne du terrain (31%, +2,5). La gauche est stable (40%) tandis que les autres courants sont en baisse : l’extrême-gauche (-0,5), le centre (-1,5) et l’extrême-droite (-0,5).
Enfin, dans l’hypothèse d’un second tour qui opposerait le président sortant à François Hollande, bien qu’en baisse de 4 points, le candidat socialiste l’emporterait aujourd’hui avec 56% des intentions de vote face à Nicolas Sarkozy (44%).
L'entrée en campagne de Nicolas Sarkozy et sa crédibilité
Les avis sont partagés sur l’entrée en campagne du candidat Nicolas Sarkozy puisque 48% des Français la jugent bonne (vs. 46% mauvaise). S’agissant des thèmes et valeurs mis en avant, une majorité de Français (59%) estiment qu’ils sont plutôt de nature à diviser, dont 82% des sympathisants de gauche, 77% de ceux de l’extrême-gauche et 72% des sympathisants du Front national (vs. 34% de nature à rassembler). En termes de crédibilité, Nicolas Sarkozy ne convainc pas les Français sur chacun des items testés. Il obtient son meilleur score sur « les réformes en général » : 40% le juge alors convaincant. Quand il parle de son bilan (34%), de la formation et l’indemnisation sous conditions des chômeurs (32%), du recours au référendum (30%) ou encore « des problèmes des gens » (29%), moins d’un tiers des Français le trouve convaincant.
L’introduction d’une part de vote à la proportionnelle aux élections législatives, mesure phare du candidat de l’UMP, est plutôt soutenu par l’opinion : 64% des Français y sont favorables, dont 74% des sympathisants du MoDem et, surprise, seulement 51% des sympathisants du FN (score le plus faible).
Bas salaires : la gauche réagit aux propositions de Sarkozy
Comme en 2007, Nicolas Sarkozy place la question des salaires et du pouvoir d'achat au coeur des débats.
Dans la version 2012, le candidat UMP propose de supprimer certaines charges sur les salaires les plus bas tout en supprimant la prime pour l'emploi. Une solution vivement critiquée par Jean-Luc Mélenchon et François Hollande.
Présidentielle : Sarkozy veut "réformer la prime pour l'emploi"
Nicolas Sarkozy entend "réformer complètement" la prime pour l'emploi, en allégeant les charges sur les bas salaires, entre 1.200 et 1.400 euros nets par mois.
Selon le candidat UMP à la présidentielle, cela devrait permettre "à 7 millions" de salariés, dont le salaire est situé entre 1 et 1,2 Smic (de 1.200 à 1.400 euros nets par mois) de "gagner 1.000 euros par an en plus". "On supprime des charges sur leurs salaires pour augmenter leur salaire" car "le travail doit être davantage récompensé que l'assistanant", a affirmé Nicolas Sarkozy.
Le président-candidat a également annoncé qu'en cas de réélection, il proposerait l'interdiction des retraites chapeau et des "parachutes dorés" perçus par ces grands patrons.
Il s'est également dit favorable à ce que tous les bénéficiaires du RSA (revenu de solidarité active) effectuent 7 heures de travail d'intérêt collectif. Cette disposition est actuellement expérimentée dans plusieurs départements.
Présidentielle : Sarkozy impose son rythme dans la campagne
D'après les enquêtes d'opinion, les propositions de Nicolas Sarkozy ne séduisent pas les Français. Pourtant, le président candidat remonte dans les sondages. Son entrée en campagne est donc réussie. Quels sont ses secrets pour un tel succès ?
Présidentielle : Sarkozy s'est transformé en candidat sympa et normal
Politique 2012 : chronique politique quotidienne
mardi 21 février 2012
Désormais, la somme versée ou promise aux Grecs s'élève à 360 milliards d'euros
La chronique de l'éco de Nicolas Doze
DSK en garde à vue pour "complicité de proxénétisme"
Dominique Strauss-Kahn a été placé en garde à vue à Lille,pour "complicité de proxénétisme" et "recel d'abus de biens sociaux" dans l'affaire du Carlton de Lille.
Arrivé peu avant 9h ce mardi matin, dans une caserne de gendarmerie où il avait été convoqué, DSK s'est vu signifier immédiatement son placement en garde à vue par les enquêteurs de la PJ de Lille.
L'ancien directeur général du FMI devrait être interrogé au sujet de soirées libertines auxquelles il aurait pris part, notamment à Paris et Washington, afin de déterminer s'il savait que les femmes qui y participaient étaient des prostituées.
A Rungis, Sarkozy à la rencontre de la "France qui se lève tôt"
Comme en 2007, Nicolas Sarkozy, est allé à Rungis, rendre visite aux travailleurs de cette "France qui se lève tôt".
Moins offensif qu'en 2007, le candidat UMP à la présidentielle explique que "les gens ne demandent qu'à travailler pour gagner plus". "Pourquoi les en empêcherait-on" a-t-il, ajouté.
Nicolas Sarkozy a également réitéré sa volonté de réformer la formation des chômeurs afin, "que tout le monde ait la chance d'avoir une formation".
Royal reproche à Sarkozy de ne pas aller "là où les Français souffrent"
Ségolène Royal a dénoncé le "manque de courage" du candidat UMP Nicolas Sarkozy, en visite sur ses terres de Charente-Maritime, qui "ne va pas là où les Français souffrent de ses promesses non tenues".
"Pendant cinq ans, il a oublié la France qui se lève tôt à qui il avait tant promis en 2007", a dit Ségolène Royal devant la presse dans la voiture bar du TGV qui la conduisait à La Rochelle. "Il croit que les Français seront assez naïfs pour oublier tout ce qui s'est passé pendant cinq ans. Il voudrait faire oublier en 60 jours tous les dégâts qu'il a commis en cinq ans, mais les Français ne se feront pas avoir cette fois-ci", a-t-elle poursuivi.
"Aujourd'hui, il va à Alstom où ça va bien, pas là où les Français souffrent des promesses qu'il n'a pas tenues (...) Et encore, Alstom, ne va pas bien à cause de lui mais parce que les régions présidées par des socialistes ont commandé 160 trains qui ont permis de créer 900 emplois", a affirmé la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes.
Le Pen persiste et signe à propos de la viande halal
"La souffrance animale généralisée en violation des lois française et européenne, ça n'est pas quelque chose d'anodin" a déclaré Marine Le Pen ce mardi matin sur France Inter.
Ce propos fait écho à l'opinion exprimée par Nicolas Sarkozy ce matin à Rungis selon laquelle la polémique concernant l'abattage de la viande selon le rite halal en Ile-de-France, "n'avait pas lieu d'être".
Que devient Dominique Strauss-Kahn ?
Depuis son retour en France, Dominique Strauss-Kahn se fait discret. Aucune déclaration publique depuis ses explications à la télévision, et ses proches ne se bousculent pas pour parler de lui. Selon son biographe officiel, DSK reste énergique et combattif.
La presse l’a décrit comme un homme abattu, reclus, dont la seule occupation depuis des mois consiste à préparer sa défense dans les différentes affaires le concernant. C’est absolument faux assure son biographe officiel.
Pour autant, l’ex-favori des sondages reste discret. Il n’est pas question de perturber ses amis ou anciens amis socialistes. Son retour sur la scène publique, il l’a effectué mi-décembre. Il était invité par un forum économique à Pékin. Dans quelques semaines, il doit donner une conférence à l’université de Cambridge sur l’état de l’économie mondiale, avant de participer à un débat au parlement européen le 27 mars sur le même thème.
Bayrou : "je ne suis pas un spécialiste de lingerie féminine"
Dans l'émission Parole de candidat, François Bayrou, le candidat du MoDem, est revenu sur le problème de l'entreprise Lejaby avec une ex-employée de l'entreprise française de lingerie.
Homoparentalité : "il faut partir de l'intérêt de l'enfant", selon Bayrou
"Je protègerai la politique familiale", a déclaré François Bayrou, le candidat du MoDem à la présidentielle, dans l'émission Parole de candidat sur TF1. Il souhaite une "reconnaissance de la réalité du lien" dans le cas où un enfant est élevé par une personne qui n'est pas son père ou sa mère biologique.
Eva Joly : "je ne vais pas commenter les sondages"
"Si vous voulez que je reste là et que nous continuions la conversation nous allons parler du fond", a lancé agacée, la candidate d'Europe-Ecologie en répondant à une question de Michel Field.
Bayrou : mettre un terme à la "sarkhollandisation" du débat
"Le lundi c'est Sarkozy, le mardi parce qu'il faut répondre c'est Hollande, le mercredi c'est Sarkozy...", a déploré François Bayrou, le candidat du MoDem, dans l'émission Parole de candidat sur TF1.
Eva Joly : "je suis heureuse dans cette campagne"
"Entourée d'une petite équipe et de beaucoup d'amour, je peux aller au bout du monde et l'hostilité environnante m'est égale lorsque j'ai ce minimum là", a déclaré la candidate d'Europe-Ecologie dans Parole de candidat sur TF1 lundi soir.
Parole de candidat, "gros succès" sur twitter
"Dès 21 heures 20, le mot-clé PDC pour Parole de candidat est devenu le premier mot-clé utilisé sur twitter", selon Benoît Gallerey spécialiste des réseaux sociaux.
Michel Field décrypte "le style Bayrou" dans Parole de candidat
Pour Michel Field, François Bayrou "a donné aux Français qui le connaissaient peu, l'occasion de se découvrir dans sa vraie personnalité", lors de l'émission Parole de candidat, lundi soir sur TF1.
Parole de candidat : Bayrou et Joly ont répondu aux questions des Français
Les deux premiers invités politiques, François Bayrou et Eva Joly ont répondu aux questions de 14 Français lundi soir sur TF1. Des questions simples et très précises du quotidien.
lundi 20 février 2012
Bourdin 2012 : Henri Guaino
Jean-Jacques Bourdin reçoit Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy.
Hollande dénonce "l'État UMP" mis en place par Sarkozy
François Hollande, invité d'Olivier Mazerolle sur BFMTV, s'est attaqué au "système Sarkozy. Le candidat PS à la présidentielle, accuse Nicolas Sarkozy d'avoir mis en place "un État UMP".François Hollande accuse Nicolas Sarkozy d'avoir mis en place "un système" dans la police et la justice. Le candidat PS à la présidentielle prévient que - s'il était élu à l'Elysée - les hauts fonctionnaires qui "sont liés à ce système auront forcément à laisser la place à d'autres".
Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, la nouvelle porte-parole de Nicolas Sarkozy, l’attaque de François Hollande est "une chasse aux sorcières" chez les hauts fonctionnaires.